j'en dirai qu'il ne faut mélanger les torchons et les serviettes, même si lorsque l'on a que ça sous la main l'une peut remplir les fonctions de l'autre (ps : je prodigue des cours à ce sujet), autrement dit les exigences de l'espèce en hiver et en dehors de l'hibernation ne répondent probablement pas aux mêmes règles. Par ailleurs, comme tu le soulignes, force est de constater que les espèces sont plus plastiques qu'il n'y parait. Alors c'est clair, du Bechstein en forêt ne sortira probablement pas beaucoup de son massif mais si l'on se donne la peine d'étudier des colonies atypiques comme celles d'Arnaud ou encore de Barataud en Haute Vienne, on peut s'attendre à forer dans de la nouveauté. Ajoutons quand même que cette espèce peut parcourir des dizaines de KM pour s'adonner à la danse du swarm, et il est plus que probable, qu'à un moment ou un autre de son trajet, elle se retrouve au milieu du maïs.